Littérature majeure, littérature mineure : ce clivage n'a jamais vraiment retenu l'attention des scholiastes et des érudits, plus intéressés par la littérature des œuvres (majeures ou mineures) qu'ils étudient que par la qualification que l'histoire leur donne. Pourtant il y va encore une fois de la littérature, de la littérature toute simple dans la nudité de sa contingence et de sa diversité, telle que le classement par le haut et le bas nous permet d'en comprendre la nécessité qui est chaque fois réinventée.