Note liminaire
Frédéric Cousinié – Introduction.
Géographie de l'impressionnisme : nation, région, pays, territoire
Odile Parsis-Barubé – Savoirs sur le territoire, pratiques de terrain et imaginaires de l'espace au temps de l'impressionnisme ;
François Guillet – Le territoire normand au XIXe siècle ;
Michael R. Orwicz – Paul Gauguin et la dialectique spatio-temporelle de la modernité ;
Marie-Claude Genet-Delacroix – La reconnaissance officielle des impressionnistes (1865-1925) : art français ou art moderne ?
Inscriptions locales : Rouen et la Normandie
Yannick Marec – Impressionnisme et modernités normandes au XIXe siècle ;
Claire Maingon – De l'école de Rouen à la Société des artistes rouennais : affirmation et reconnaissance d'un (im)possible impressionnisme normand ;
Jeanne-Marie David-Frank – Soutenir un impressionnisme local ? L'impressionnisme à Rouen ;
François Lespinasse – François Depeaux, un collectionneur ;
Géraldine Lefebvre – Panoramas portuaires d'après Pissarro. Le Havre : collections publiques, collections privées ;
Richard Thomson – La « dune mélancolique » : Jean-Charles Cazin, la création et la transmission d’une esthétique régionale vers 1880-1905.
Inscriptions alternatives, mobilités
James H. Rubin – L’« autre » territoire impressionniste et la modernité, ou l’est parisien, berceau de l’impressionnisme ;
Atsushi Miura – Manet et le plein air sur les rivages de la Manche ;
Frances Fowle – Paysage sauvage, paysage moderne, paysage pittoresque : Monet et Guillaumin dans la vallée de la Creuse ;
Nina Athanassoglou-Kallmyer – Peintre impressionniste, peintre régionaliste dans le Midi provençal, une contradiction ? Le cas Cézanne ;
Béatrice Joyeux-Prunel – Monet au risque d’une cartographie : du territoire à sa dilution ;
Denis Retaillé – Les lieux du chevalet errant : une déconstruction en forme d’analytique. |