Geerewol



Geerewol

Musique, danse et lien social chez les Peuls nomades wodaabe du Niger


:: Résumé    :: Sommaire    :: Détails


Avant-Propos

Note sur les documents (dvd-rom)

Conventions linguistiques

Introduction (p. 15)

Préambule historique - Trajectoire d'un peuple nomade (p. 23)

Première partie : Chants de marque

Chapitre premier – Des danses communautaires et des chants lignagers (p. 39)
1. Ce que nous avons « en commun » et ce qui « diffère »
2. Ce qui est « premier » et ce qui « vient après »
3. Ce que l'on peut chanter en ville
4. Tout le monde ne maîtrise pas son chant
5. Chanter tous ensemble ou tous en même temps
6. Des « chants de marque » tripartites
7. Les Wo∂aaße en représentation publique

Chapitre II – La voix des ancêtres (p. 81)
1. Porter son chant chez autrui
a) Confrontations inter-lignagères
b) Sous la conduite des anciens et du guide de la fraction
c) Quand « mêler les chants » ne signifie pas « chanter ensemble »
2. Le chant, il faut en avoir hérité
a) Quand savoir chanter signifie être « bien-né »
b) Le « grand chant » (ngol manngol) : chanter seul au nom de son lignage
3. C’est le père des gens qui a partagé le chant
a) Une matrice commune ?
b) L’histoire à rebours

Chapitre III – Le fil musical de l’appartenance lignagère (p. 131)
1. La transmission référencée des phrases de bara
2. Apprendre le « grand chant » à la lettre
3. Le « petit chant » (ngol pamarol) : chanter ensemble en divergeant
4. L’accès démocratique au « petit chant »
5. Le « chant de bara » (ngol bara) : chanter nombreux, chacun pour soi
6. Être membre d’un lignage : du solo à la multivocalité

Deuxième partie : Marques nomades

Chapitre IV – Jeux d’oppositions complémentaires (p. 189)
1. Préliminaires aux cérémonies inter-lignagères
a) Préparer magiquement son corps
b) Le rappel des règles cérémonielles
2. Le choix du lignage adverse
a) L’éloignement généalogique
b) L’opportunisme géographique
c) La réciprocité
d) L’égalité numérique
3. Cérémonies intra-lignagères versus inter-lignagères : la geerewol en moins

Chapitre V – Création musicale et géographie sociale (p. 213)
1. Du mythe à l’histoire vécue
a) Révélation musicale et légitimité identitaire
b) La possession incomplète d’un chant : le cas des lignages « retardataires » ou « venus » à la communauté
c) Le déni de possession d’un chant : le cas des lignages « égarés »
d) Des faits et de l’idéologie
e) Des donateurs, des alliés et des exclus
2. Petit essai de dialectologie musicale

Troisième partie : Marquer les corps et les cœurs
Chapitre VI – La voie des anciens (p. 255)
1. La théière ne fait pas l’homme
2. L’institution initiatique de da∂∂o
3. Au nom du mbo∂aangaaku
4. Amener les jeunes à soi
5. Entre éducation et coercition

Chapitre VII – Une cérémonie de da∂∂o ngaanyka ou l’art de l’agôn (p. 295)
1. La guerre pour les femmes
a) Une attaque-surprise
b) Une guerre ritualisée
2. Yaake et geerewol : lart dêtre et ne pas être ensemble
a) Yaake ou geerewol ?
b) Sur le fil continu du chant et de la danse
c) De l’hétérophonie intra-lignagère à la polymusique inter-lignagère
3. La geerewol : parade nuptiale ou danse martiale ?
a) Le mouvement de yaake
• La quête de la beauté
• Une beauté incarnée
b) Le mouvement de geerewol
c) Le rite d’élection
4. La guerre en chantant

Chapitre VIII – L’aube est vérité (p. 349)
1. Une « danse de phénix »
2. Un rite de marquage
3. La guerre pour la paix

Conclusion (p. 367)

Épilogue — Quinze ans plus tard (p. 379)

Références citées

Sources audiovisuelles

Index

Glossaire

Table des illustrations in-texte

Table des illustrations hors texte

Contenu du dvd-rom

119064-41


 

 

 

Autres titres dans...

la collection :


les domaines :


autre suggestion :

Product image
Marie-Paule Ferry
Ceux de la nuit
Les sorciers tenda au Sénégal oriental
Anthropologie de la nuit n° 4