Rassemblant les contributions d’historiens de l’art et de philosophes, cet ouvrage réinterroge le modèle qu’a constitué le discours philosophique pour l’art et la théorie de l’art au XVIIe siècle. Il étudie quels sont les emprunts (ou les oublis), les choix et les découpes opérés entre les deux champs. Et, sous-tendant l’ensemble de ces contributions, la question de quelle écriture et de quels outils dispose l’histoire de l’art contemporaine pour penser les enjeux philosophiques et théoriques de ses objets d’études.

En coédition avec l’Institut national d’histoire de l’art.