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Carlos Sorínfilmer pour rêver
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Eduardo Rodríguez Merchán – Préface Avant-propos La lente éclosion d'un cinéaste Un parcours atypique (1944-1986) Dans la lignée de la supercherie d'Orson Welles : La Era del ñandú Eversmile New Jersey (1989) : le fou a perdu toute grandeur Une longue parenthèse avant le retour « La trilogie des anonymes » (Historias mínimas, Bombón el perro, El camino de San Diego) Festina lente : une autre temporalité diégétique, une autre façon de tourner L'idole : Diego Diego… Porosité générique et magie d'un lieu La Ventana (La Fenêtre, 2008) : une « dissection anthropologique de l’âme » Variations bergmaniennes Le défi du changement : un thriller à la ville (El Gato desaparece) Un hommage à Hitchcock En guise de conclusion provisoire… Annexes Entrevista a Carlos Sorín, 09.04.2010 |
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