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Peindre pour le cinémaUne histoire du Matte Painting
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Remerciements Introduction
Partie 1. Chapitre 1. Une archéologie du Matte Painting Le trompe-l'œil, un cousin proche ou lointain ? Le décor peint, de la convention au naturalisme La retouche photographique, Matte Painting avant l'heure
Chapitre 2. Les pionniers : des débuts difficiles (1907-1919) Les essais de Norman O. Dawn Le décor post-Première Guerre mondiale : faire « vrai » (trop vrai)… Ne rien dire, mais faire : la culture du secret
Chapitre 3. L'essor international de la technique, les années 1920 Walter Percy Day, un peintre anglais en France Réduire ou augmenter ? Vers une banalisation de la technique. La guerre des brevets
Chapitre 4. La généralisation des années 1930, premier âge d’or de la technique L’ère du chef, une standardisation des pratiques Une explosion des techniques de compositing La concurrence des miniatures suspendues, Day vs. Wilcke et Minine
Chapitre 5. Les mutations technologiques de 1940 à la fin des années 1950 La couleur : on change tout, on ne change rien De plus en plus de mouvements, les systèmes de « motion control » La quête de l’espace et du temps : le péplum en Cinémascope
Chapitre 6. La crise des années 1960 à 1970 : la fin d’une génération Le tournage en extérieur, un choix économique, technique et esthétique L’exception Disney Du film catastrophe à la science-fiction, la notion de genre
Chapitre 7. Le renouveau des années 1980, un deuxième âge d’or Le « modèle » Star Wars La génération ILM : naissance du « film à effets spéciaux » ? En France aussi, une timide (re)naissance
Chapitre 8. Le numérique, renaissance ou achèvement ? Un changement radical : la décennie 1990 À nouvelle technique, nouveau métier ? Le DMP (Digital Matte Painter) Studio et caméra virtuels
Partie 2. Chapitre 1. L’indétectable détecté ou le détectable indétecté Photogénie, ou le faux plus le faux donne le vrai L’effet sans la cause, effet spécial ou effet banal ? L’exception : quand la peinture est faite pour montrer la peinture
Chapitre 2. Cadrer, éclairer : révéler le décor Gros plan ou plan d’ensemble, la « juste » distance Citizen Kane, la lumière capturée L’impressionnisme de Whitlock, peindre avec la lumière
Chapitre 3. La question du détail, trop ou pas assez ? Diriger le regard du spectateur Le détail authentifiant, des « gags » de Whitlock aux oiseaux migrateurs Trop de détails (numériques) tue le détail ? L’empire contre-attaque de 1980 vs. L’empire contre-attaque de 1997
Chapitre 4. Du refus du mouvement à une esthétique du mouvement Le mouvement de caméra, un tour de force technico-esthétique Le zoom arrière, de l’infiniment petit à l’infiniment grand La caméra virtuelle, caméra mouche ?
Partie 3. Chapitre 1. La rencontre de l’homme et de la peinture, la frontière ou la contagion Cacher la ligne de cache L’homme, centre du Matte Painting ? Les hommes avalés par la peinture : la figuration
Chapitre 2. Le montage, ni trop ni trop peu : la règle des 5 secondes Quand Koulechov rencontre Bazin Voir/percevoir, Hitchcock et les effets imperceptibles Ne jamais monter deux peintures à la suite
Chapitre 3. Le son fait la peinture Le bruit fait la peinture La musique fait la peinture La voix ne fait pas la peinture
Chapitre 4. Le plan paysage, personnage à part entière ? Les fonctions du décor L’establishing shot (plan d’établissement) ou plan de situation Le plan-choc, un triple niveau de lecture
Conclusion Index des films cités Index des noms cités Bibliographie
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120476-54 |