|
Orare aut laborare ? Fêtes de précepte et jours chômés du moyen âge au début du XXe siècleÉdité par Philippe Desmette, Philippe Martin Avec Christine Barralis, Alain Cabantous, Nicolas Champ, Pierre-Olivier De Broux, Philippe Desmette, Bruno Dumézil, Nicolas Guyard, Yves Krumenacker, Florence Maertens de Noordhout, Philippe Martin, Charles Mériaux, Philippe Moulis, Lionel Obadia, Vincent Petit, Gaël Rideau, Marco Rochini, Catherine Vincent |
|
Introduction. la fête : un enjeu entre sacré et profane Ouverture : Obligations, calendriers liturgiques et festivités. Première partie. Le temps de la fixation des normes Le dimanche chômé à l'époque romano-barbare Fêtes et jours chômés dans le monde carolingien (VIIIe-Xe siècles) Les jours fériés et leur observance en Occident entre le XIIIe et le XVe siècle Jours chômés et fêtes dans la moitié nord du royaume de France au XVe siècle, d'après les normes épiscopales Deuxième partie. Situations établies et réformes à l’Époque moderne La réforme des fêtes de précepte dans les Pays-Bas autrichiens en 1751 : une affaire d’État(s) Le débat sur la réduction des fêtes religieuses de précepte en Italie au XVIIIe siècle : Guadagnini et le Progetto di fissazione del calendario ecclesiastico Prélats jansénistes et calendriers diocésains dans la France septentrionale La fête processionnelle en France au XVIIIe siècle entre dévotion et police Identités urbaines et fêtes d’obligation à Lyon au XVIIIe siècle Troisième partie. Aux marges de la catholicité Un calendrier à l’épreuve. Les fêtes dans le monde réformé (XVIe-XVIIIe siècles) Une fête religieuse impensable chez les protestants français ? Quatrième partie. La fête contemporaine : entre continuité et innovation Contraindre à la messe Repos dominical et jours fériés en Belgique au XIXe siècle : la transformation des obligations religieuses en revendication sociale Calendrier légal et temps religieux. Conclusions |
||
121886-54 |