Tout le monde en parle mais personne ne les connaît vraiment. Ils apparaissent aux États-Unis et en Grande-Bretagne comme des acteurs quasi-institutionnels du débat politique. En revanche, la société française s'est longtemps refusée à reconnaître l'influence des multiples groupes, réseaux, comités, bureaux plus ou moins occultes, qui n'ont pourtant cessé d'intervenir sur la scène publique.