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L'ascension de Charles Le BrunLiens sociaux et production artistique
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La Tribune de l'art
8 mai 2011
« Il est impossible de résumer ici les multiples propositions de Bénédicte Gady sur le rôle joué par Le Brun à Vaux, mais on comprend désormais mieux comment il géra certaines équipes. Il n'y dirigea pas tous les peintres et, hormis Legendre et Girardon, pas non plus les sculpteurs. De toutes façons, l'implication de Le Brun dans le décor de Vaux est très diversifiée. Les ouvriers dont le nom n’apparaît pas dans les pièces comptables du procès Fouquet, tels que Philippe Bonnemer et François Lallemant, peintres d’histoire ou de figures, loin d’être indépendants de Le Brun, étaient personnellement rétribués par lui, Le Brun, et donc travaillaient sous son contrôle, suivant ses ordres. Mais ceux qui étaient payés par les deniers de Fouquet, qu’ils fussent peintres, menuisiers ou sculpteurs, intervenaient souvent…»
- Françoise de la Moureyre, La Tribune de l'art...suite
L'estampille-L'objet d'art
1 oct. 2011
« Ajoutons pour finir que l'ouvrages est écrit dans une langue limpide, que son appareil critique est d'une rigueur sans faille et que son illustration sert avec intelligence le propos, parfaitement déroulé dans un plan en trois parties, digne des plans de la rhétorique cicéronienne. »
- Christine Gouzi, L'estampille-L'objet d'artExtrait de la critique de Christine Gouzi publiée dans L'estampille- L'objet d'art n°472, oct. 2011, p. 88
La cliothèque
18 nov. 2011
« L'analyse d'un parcours personnel, la mise en perspective grâce à la prosopographie montre que l'interdisciplinarité entre histoire et histoire de l’art ne peut être qu’une nouvelle voie féconde qu’ouvre Bénédicte Gady, tout en donnant dans les derniers termes de sa conclusion, matière à la suite de la carrière de Charles Le Brun à Versailles.»
- Pascale Momiche, La cliothèqueExtrait du compte rendu de Pascale Momiche publié sur le site La Cliothèque le 18 nov. 2011 1 avr. 2012
« L'approche de Gady repose sur une dialectique entre "liens sociaux et pratique artistique" en mettant à profit plusieurs disciplines: l'histoire sociale surtout, mais aussi l'histoire des mentalités et l'histoire politique. Par de nombreux points, son enquête (le mot est juste) frôle la micro-histoire et la sociologie historique … Cette transdisciplinarité sert parfaitement bien l'histoire de l'art :tout au long du discours et de façon très équilibrée, les données factuelles, l'interprétation renouvelée des sources et l'approche philologique, conduisent à des développements sur les œuvres, où la manière de l'artiste et ses choix sont analysés toujours avec une grande subtilité.»
- Matthieu Lett, Kunstchronik, Monatsschrift für Kunstwissenschaft, Museumswesen und DenkmalpflegeExtrait du compte rendu de Matthieu Lett publié dans Kunstchronik, Monatsschrift für Kunstwissenschaft, Museumswesen und Denkmalpflege, 65 (4)/ Apr. 2012, 172-173.
Perspective
« Au-delà d'un enrichissement considérable des connaissances sur Le Brun, le livre offre une vision précisée et renouvelée de la question de l'atelier - et donc du statut du grand décor -, par une étude fouillée du cercle tes collaborateurs, composée d'une série de petites monographies d'artistes méconnus ou obscurs. » Extrait du compte rendu de E. Coquery publié dans Perspective, 3- 2010/2011, p. 502.
« Le livre constitue, on a plaisir à l'écrire, un jalon de premier ordre dans la bibliographie sur les arts en France au XVIIe siècle. Rédigé avec une remarquable aisance, intelligent et clair, il est agréable à lire de bout en bout. »
- Marianne Cojannot-Le Blanc, La revue de l'artExtrait du compte rendu de Marianne Cojannot-Le Blanc publié dans La revue de l'art, 175(1)/2012, p. 74. |
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