Frédéric Calas, Pascale Auraix-Jonchière – Introduction
Partie 1. Réécrire la Belle : de la textualité à la transtextualité
Cyrille François – L'évolution de « Dornröschen » dans les éditions successives des KHM : « raconter plus simplement et plus purement » ;
Catherine Tauveron – Étude comparative de l'expérience temporelle de « Rose d'épine » (Grimm) et de « La Belle au bois dormant » (Perrault) : une Rose d'épine qui a perdu de son piquant ?
Martine Hennard Dutheil de la Rochère – Les métamorphoses de « La Belle au Bois dormant » en traduction : du salon mondain à la nursery victorienne ;
Pascale Auraix-Jonchière – Réception entrelacée d'un motif : des ronces et des roses (Perrault, Grimm, Lorrain, Carter) ;
Frédéric Calas – De « La Belle au bois dormant » à « Dornröschen » : phénomènes interdiscursifs d’une réécriture.
Partie 2. Représenter la Belle : intermédialité et iconotextualité
Dominique Peyrache-Leborgne – Du kitsch et de la grâce: la scène du baiser de « Dornröschen » chez H. Lefler et J. Urban ;
François Fièvre – La Belle au bois dormant d’Edward Burne-Jones et Walter Crane : en quête d’une fleur perdue ?
Christiane Connan-Pintado – Greffes de songes sur « La Belle au bois dormant » dans les albums de Frédéric Clément et de Nikolaus Heidelbach : « mourir, dormir… rêver peut-être » ;
Nelly Chabrol Gagne – Les Songes de La Belle au bois dormant imaginés par l’artiste Frédéric Clément : de l’ellipse textuelle à l’iconotexte ;
Natacha Rimasson-Fertin – « Dornröschen » à l’heure du Troisième Reich et du réalisme socialiste : métamorphoses cinématographiques sous le signe de l’idéologie
Pascale Auraix-Jonchière – En guise de conclusion : le sommeil de la Belle, latence et résurgences du conte.
Bibliographie
Index des noms |