Chronologiquement, il ajuste la focale sur les périodes Hrušcev et Brežnev, mais évalue aussi les implications postsoviétiques des technopolitiques nucléaires.
Géographiquement, il décentre le point de vue en ramenant dans le cadre le Belarus, l'Ukraine et le Kazakhstan et met en évidence les relations transnationales et les interdépendances à l'intérieur du bloc soviétique et hors de ses frontières.

Les contributeurs analysent les pratiques, souvent conflictuelles, caractéristiques des technopolitiques nucléaires soviétiques — qu’il s’agisse des politiques du secret ou de la publicité, de l’enthousiasme ou de la coercition, de l’exceptionnalisme ou des collaborations transnationales —, et étudient comment, dans le passé, les futurs nucléaires étaient envisagés et comment, aujourd’hui, les héritages nucléaires sont remémorés et formulés.