Paroles de chercheurs

Remerciements

Avant-propos, Frédéric Nancel

Introduction

1. La genèse du projet : un laboratoire pédagogique et idéologique

1.1. Inculquer une discipline commune
1.2. Reconstruire sur des ruines
1.3. Exhumer des vestiges

2. La maison des étudiants

2.1. L'implantation idéale
2.2. Le bâtiment sort de terre
2.3. Une maison (presque) tout confort

3. La communauté des Gergoviotes

3.1. Comment devient-on Gergoviote ?
3.2. Rassemblés autour d'un lieu, le plateau de Gergovie
3.3. Un foyer aux couleurs de l'Alsace

4. Témoignages des fouilles

4.1. Fouiller à Gergovie pendant la guerre, un contexte paradoxalement favorable
4.2. Des pratiques scientifiques qui reflètent les moyens et méthodes de l'époque
4.3. Les résultats scientifiques

5. L'engagement en résistance

5.1. 1941, le défi
5.2. 1942, le combat
5.3. 1943, les rafles et la dispersion
5.4. Poursuivre le combat au-delà de Gergovie

6. Le prix à payer

6.1. Aux prises avec l’entreprise de déshumanisation nazie
6.2. Stéphanie Kuder déportée au camp de Limmer à Hanovre
6.3. Jean Lassus, Dachau, matricule 77019

7. Après la guerre : les prolongements de la communauté

7.1. La destruction de la maison d’Alsace
7.2. 15 août 1951 : un acte de mémoire
7.3. En temps de paix

Conclusion

Épilogue : Fouiller les fouilles anciennes, entre épistémologie et archéologie du fugace

Références bibliographiques

Index des noms de personnes

Postface : Une utopie gauloise à Gergovie, Laurent Olivier