Introduction
PREMIÈRE PARTIE: JE EST UN INDIEN
• L'autobiographie est-elle un genre « essentiellement européen » ?
L'individu guerrier
L'individu sacralisé
Nommer l'individu
• Des origines de l'autobiographie en Amérique du Nord
• Qu'est-ce qu'une autobiographie amérindienne ?
Autobiographies collaborées
L’autobiographie à la limite
Autobiographie et histoire
• Autobiographie et imagination
• Chronologie et mémoire
Le temps abyssal de Momaday
Vizenor le Trickster
• Le souvenir des uns et la mémoire des autres
• Choses imaginées, choses racontées, choses vues, choses crues
• Imaginer le début de sa vie
• Autobiographie et hétéroglossie
L’émergence de l’autre dans le récit de soi : Storyteller
La Femme-Araignée – Spider-Woman – raconte
• Mémoire photographique
DEUXIEME PARTIE : DU POUVOIR ET DES MOTS
• La culture du signe parlé rencontre celle du signe écrit
Collaboration des cultures
L’interprétation des signes
Résister à l’imposition du signe colonisateur
• La magie des mots
• Devoir de mémoire ou réinvention du « bon sauvage »
• La condition dialogique du colonisé
• Un acte bio-politique
• Contre-discours amérindien, ou réciprocité de la déshumanisation
TROISIEME PARTIE : HISTOIRES D’IDENTITES
• Storytelling : vivre dans le langage
• Auto-topo-graphie
• Auto-mytho-graphie
• Identités métissées, imaginées, libérées
Conclusion : Autobiographie amérindienne et postmodernisme
Bibliographie |