Préface
Ire partie – Dialogues avec les sources
Romain Piana – Musset et Aristophane ;
Valentina Ponzetto – Musset et les écrivains italiens du Moyen Âge et de la Renaissance ;
Stéphane Arthur – « Suis-je un Satan ? » Musset et les représentations du XVIe siècle ;
Esther Pinon – Écrire le sacré : Musset et ses modèles.
IIe partie – Une poétique des genres
Gilles Castagnes – L'Anglais mangeur d'opium. Traduit de l'anglais par A. D. M. : de la traduction à la création, l'acte de naissance d'Alfred de Musset ;
Anne-Céline Michel – Les Revues fantastiques comme billets d'humeur ;
Samy Coppola – La « polémisation » du roman autobiographique chez Musset ;
Christian Chelebourg – « Cet amalgame de fange et de ciel ». Métalecture du premier Musset.
IIIe partie – Théâtre : écriture, dramaturgie, mise en scène
Florence Naugrette – Le théâtre de Musset côté jardins ;
Sophie Mentzel – Musset : dramaturgie et politique ;
Frédérique Plain – Mise en scène et mise en texte, l'énigme de Lorenzaccio. Ou ce qui gêne le théâtre dans la poétique de Musset ;
Jacques Bony –Les cinq états des Caprices de Marianne.
IVe partie – Motifs personnels, thèmes obsédants
Frank Lestringant – Musset, une poétique de l'ébriété ;
Olivier Bara – La parole trahie. Mythe fondateur et fondement éthique de la poétique mussétienne ;
Gisèle Seginger – Une poétique de la disparate ;
Sylvain Ledda – « C'est le valet de pique : vous avez perdu ». Musset et le jeu.
Ve partie – Regards croisés
Aurélie Loiseleur – Spectres de Musset ;
Patrick Berthier – Balzac face à Musset ;
François-Marie Mourad – « Un dèle de Musset », Émile Zola ;
Aude Briot – Musset et Proust, ou la poétique du plaisir ;
Satsué Kanose – Lorenzaccio au Japon.
Conclusion |