L'Usine des ressorts du Nord depuis ses origines (1856).



L'Usine des ressorts du Nord depuis ses origines (1856).

Entreprise métallurgique douaisienne à vocation internationale


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REMERCIEMENTS

INTRODUCTION

Première partie : De l'impulsion des établissements Cail sous le Second Empire au soutien d'hommes d'affaires douaisiens pendant la Belle Époque

Chapitre I : De la taille mécanique des limes à la fabrication industrielle de ressorts

Étienne Bernot à Paris et Brueil : du brevet pour polir les perles granats (1843) au brevet d'une machine à tailler les limes (1854) ;
Dans le Nord, la limerie « Dupas et Compagnie » à Vieux-Condé, localité au cœur de la Révolution industrielle ;
À Passy, constitution de la société « É. Bernot, J. Prignet et Cie » (18 septembre 1856) ;
Appui des dirigeant de la firme Cail ;
Le brevet d'Étienne Bernot : entre accueil mitigé en Grande-Bretagne et vif intérêt aux États-Unis ;
Philippe Mansoy lance la production de ressorts à Douai (1862) ;
À la mort de Philippe Mansoy (1864), son gendre Alphonse Guillaume dirige la fabrique ;
Étienne Bernot et Jules Prignet après le lancement de leur limerie.

Chapitre II : Face à la concurrence et au marasme économique ambiant des années 1873-1896

Les limes dans la compétition industrielle ;
En période de prospérité, prorogation de la société ;
De la crise majeure de la société « A. Guillaume et Cie » (1884-1892) à la Société anonyme des « Anciens établissements Guillaume de Douai » (1892-1897) ;

Chapitre III : L'usine des ressorts du nord (1897) : nouvelles stratégies commerciales et géographiques

Ouverture à l'automobile ;
Versements à la Caisse nationale des retraites ;
Aménagements de l’entreprise dans un espace exigu ;
Productions et politique commerciale : amorce d’une mutation ;
Délocalisation à la périphérie de Douai (1910-1914).

Deuxième partie : Aléas et développements d’une entreprise douaisienne (de la Première à la deuxième guerre mondiale)

Chapitre IV : la Première Guerre mondiale et ses lendemains laborieux

Durant la Grande Guerre ;
Écoulement des productions facilité par la relance d’un réseau commercial ;
Dommages de guerre reçus en deçà des prévisions ;

Chapitre V : œuvres sociales diversifiées

Allocations familiales, aides sociales et aides pour les ouvriers blessés ;
Construction de la « Cité Achille Dincq » ;
Politique de l’entreprise : embaucher, former et conserver son personnel, y compris féminin, tout en développant la mécanisation.

Chapitre VI : crise économique des années 1930 et deuxième guerre mondiale

État de santé de l’entreprise et choix opérés en période de crise économique à propos du siège social et des étrangers ;
Front populaire et grèves ;
Adaptations économiques : abandon de la production des limes (1937) et relance de l’entreprise ;
Deuxième Guerre mondiale et exigences du travail en zone interdite Septentrionale.

Troisième partie : restructurations successives (depuis 1945)

Chapitre VII : relance de l’entreprise à l’issue de la Deuxième Guerre mondiale

Productions dominées par le secteur ferroviaire ;
Siège social : l’ancrage en région parisienne ;
Conséquence des guerres en Afrique du Nord : rappel de réservistes ;
Affaissements miniers de la cité Achille Dincq ;
Vente de boissons sur le lieu de travail : une délicate gestion ;
Réfectoire, cantine puis restaurant d’entreprise.

Chapitre VIII : Aléas du climat social

Une moyenne d’un accident du travail par salarié tous les deux ans ;
Grèves répétées.

Chapitre IX : des crises à la dissolution (1987)

Politique de diversification des productions et développement du secteur automobile ;
Départs en préretraite et licenciements ;
Constitution de « Ressorts industrie » en 1978 : se recentrer sur la production de ressorts ;
Refus du plan social demandé (1982-1983).

CONCLUSION

ANNEXES
BIOGRAPHIES
CHRONOLOGIE
SOURCES ET BIBLIOGRAPHIE
Sources manuscrites
Données informatisées sur internet
Sources imprimées
Repères bibliographiques

115556-87