ÉDITORIAL

Judith Delfiner

TRIBUNE

Georges Didi-Huberman, « Faire danser la pensée  »

DÉBATS

Michel Briand, Johannes Odenthal, Karin Schlapbach, Tedi Tafel et Raffaella Viccei, « L'Ekphrasis de la performance dansée : de la description d'un objet au récit d'une interaction »

Inge Baxmann, Juliet Bellow, Mickaël Bouffard Pauline Chevalier, Lou Forster et Marie Glon, « Sources iconographiques et chorégraphiques : pour une recherche croisée entre histoire de l'art et études en danse »

Emmanuel Alloa, Sarah Burkhalter et Carrie Lambert-Beatty, « Kinesthésie plurielle : danse, esthétique et agentivité »

ENTRETIEN

Catherine Wood, « Entremêlements – Entretien avec Boris Charmatz »

ESSAIS

Tyler Jo Smith, « La céramique comme scène : des liens entre la danse et les vases grecs antiques »

Licia Buttà et Adrien Belgrano, « La danse immobile : iconographie et geste chorégraphique au Moyen Âge »

Carlo Severi, « Pietra viva : mouvement implicite, semblant de vie et anthropologie de l'art »

Bianca Maurmayr, « Saisir la danse dans les images. Étude sur l'intentionnalité chorégraphique des arts visuels du xvii^e siècle »

Juan Ignacio Vallejos, « Méreau, Rousseau et la fête dégenrée des corps dansants »

Irene López Arnaiz, « Sculptures vivantes : réception et recréation des danses indiennes en Occident (1900-1939) »

Petra Kolárová, « Vertige du corps : le cubisme tchèque et la danse »

Mark Franko, « Danser l'identité nationale espagnole à Paris et à New York (1928-1930) : Antonia Mercé, La Argentina, entre néo-classicisme, modernisme et expression populaire »

Laurent Guido, « "L’impersonnelle beauté [de] l’être-foule" : Girls et cinéma dans la France de l’entre-deux-guerres »

Ida Meftahi, « Scandaleuses, marginalisées et hors-la-loi : mes notes de terrain sur les archives (vivantes) de l’histoire de la danse iranienne »

VARIA

Guillaume Cassegrain, « "En verve" – Illustrer le livre de cuisine : photographie culinaire et imaginaire pictural »

Rémi Labrusse, « Crise, critique, mélancolie »

Enrico Camporesi, « Annette Michelson : eros et mathesis »