I. LA MOBILITE RÉSIDENTIELLE : ÉTAT DE LA LITTÉRATURE
1. Une problématique privilégiée du dialogue entre sciences sociales
2. De quelle(s) mobilité(s) parle-t-on ? Mobilités spatiales, sociales, quotidiennes et résidentielles ?
2.1. L'opposition macro-micro
2.2. Le manque d'unité paradigmatique
3. La mobilité résidentielle : la dynamique des flux
3.1. Les approches rationalistes
3.1.1 Les modèles théoriques d'occupation de l'espace
3.1.1.1. L'école de Chicago : les modèles écologiques
3.1.1.2. Les théories de micro-économie urbaine
3.1.2 Les modèles migratoires
3.1.2.1. Mobilité résidentielle, mobilité professionnelle
3.1.2.2. L’influence du parcours de vie
3.1.2.3. Mobilité et marché du logement
3.2. Les approches structuralistes (habitants, logements et territoire) : vers une division sociale de l’espace
3.2.1 Un parcours résidentiel ascendant
3.2.2 Les théories de la ségrégation
4. Le choix résidentiel : un processus de décision complexe
4.1. Prendre la décision de déménager
4.2. Choisir son lieu de vie
4.3. Ajuster son logement à ses besoins : la théorie du choix rationnel
4.3.1 La localisation : entre surface, distance au centre et coût du transport
4.3.2 Le logement : un bien hétérogène
4.3.3 Le processus de décision : une rationalité procédurale
4.3.4 L’analyse hédoniste des biens immobiliers
4.3.5 Une évaluation objective des caractéristiques du lieu de vie
4.4. Un choix socialement constitué
4.4.1 Les ressources et contraintes individuelles et structurelles : le champ des possibles
4.4.1.1. L’importance du contexte
4.4.1.2. Les ressources individuelles
4.4.1.3. La notion de stratégie résidentielle
4.4.2 Un lieu de vie qui correspond à son statut : les approches distinctives
4.4.3 Un lieu de vie près de ses proches : les approches familiales
4.4.4 Un lieu de vie ajusté à ses valeurs et sa culture
4.4.5 Un lieu de vie ajusté à son mode d’habiter
4.4.5.1. Les relégués
4.4.5.2. Les périurbains pavillonnaires
4.4.5.3. Les gentrifieurs
5. Conclusion
5.1. Bilan
5.2. Limites et perspectives
II. UNE APPROCHE PAR LES MODES DE VIE
1. Les approches plurielles
1.1. La première modernité : le jugement déterminant
1.1.1 La rationalité déterminante : la société industrielle
1.1.2 La critique de la raison : la société post-industrielle
1.2. La seconde modernité : le jugement réfléchissant
1.3. L’individu pluriel et « compétent »
2. Le choix résidentiel : une pluralité de logiques d’action
2.1. La logique fonctionnelle
2.2. La logique sociale
2.3. La logique sensible
3. La différenciation des modes de vie
3.1. Les modes de vie en sciences sociales
3.1.1 Les perspectives structuralistes : vers une société de classes
3.1.2 Les perspectives individualistes : vers une différenciation des classes moyennes
3.2. Les théories de « Lebensstil »
4. Conceptualisation théorique du mode de vie
4.1. Une différenciation horizontale : les pratiques et l’évaluation
4.1.1 L’évaluation
4.1.2 Les pratiques : le système d’activité de la vie quotidienne
4.1.3 Les trois grandes échelles du mode de vie
4.1.3.1. Utiliser, le registre de l’utilitarisme
4.1.3.2. Rencontrer, le registre de l’intégration et de la conviction
4.1.3.3. Habiter, le registre de l’expérience
4.2. Une différenciation verticale : les ressources et les contraintes
4.2.1 Les capitaux
4.2.2 Les formes de vie
5. Le potentiel d’accueil du territoire
5.1. Retour sur l’évolution des formes urbaines
5.1.1 La ville moderne
5.1.1.1. Le développement de l’hygiénisme
5.1.1.2. Utopies : de la cité ouvrière paternaliste à la cité-jardin
5.1.1.3. La Charte d’Athènes et l’homme type
5.1.1.4. Les grands ensembles
5.1.1.5. L’essor de la maison individuelle en périphérie
5.1.2 La ville postmoderne
5.1.3 La ville-monde
5.2. Décrire le potentiel d’accueil des lieux
5.2.1 L’environnement sensible
5.2.2 L’environnement fonctionnel : la prédominance de l’accessibilité
5.2.3 L’environnement social : la composition sociale du voisinage et les dynamiques associatives
5.2.4 Le contexte culturel et institutionnel
6. La qualité de vie
III. MÉTHODOLOGIE
1. Dépasser les paradigmes épistémologiques, méthodologiques et disciplinaires
2. Une approche comparative
3. Une population : les familles avec enfants
4. Décrire la ville
5. Expérimenter la ville
5.1. La grille d’entretien
5.1.1 Une variation des registres de description
5.1.2 Analyse des entretiens qualitatifs
5.1.3 Une méthode « sensible » : la réactivation sensorielle
5.2. Modéliser la ville et ses usages
5.2.1 Mise en place du questionnaire
5.2.2 Conception du questionnaire
5.3. Articulation des méthodes dans la présentation des résultats
IV. ANALYSE CONTEXTUELLE DE LA SUISSE ET DE NOS DEUX TERRAINS : BERNE ET LAUSANNE
1. Développement urbain
2. Du primaire au tertiaire
3. Évolution démographique en Suisse
3.1. Un pays en croissance démographique
3.2. Un taux de fécondité faible
4. Dynamisme et particularité du marché immobilier en Suisse
4.1. Une demande de plus en plus forte
4.2. Un taux de vacance en-dessous des moyennes européennes
4.3. Une construction dynamique
4.4. Une politique du logement social faible
4.5. Le loyer, un poste important du budget des ménages
4.6. Un peuple de locataires ?
5. Politique d’aménagement du territoire
5.1. Lausanne, le reflet d’une politique de l’aménagement tardive
5.2. Berne, une politique coordonnée
6. La politique familiale
7. Un clivage culturel : trois axes de différenciation politiques et culturels
V. LA DYNAMIQUE DES ARBITRAGES DE LOCALISATION RÉSIDENTIELLE, UN PROCESSUS COMPLEXE
1. Partir ou rester ?
1.1. Une population plutôt sédentaire : un fort ancrage social à l’échelle de l’agglomération
1.2. La force des attachements
1.2.1 Une dimension sensible qui se construit dans la durée
1.2.2 L’école et les enfants
1.2.3 Les lieux d’attache de la vie quotidienne
1.3. Satisfaction résidentielle
1.4. Son lieu de vie : une recherche dans le temps
2. Les raisons du déménagement : quels éléments déclencheurs ?
2.1. Les motifs fonctionnels : la prédominance du parcours de vie
2.2. Une accumulation de facteurs sensibles et sociaux
2.3. L’opportunité : un rêve qui se réalise ?
3. Les mécanismes de recherche de son logement
3.1. Les échelles du choix
3.1.1 Élire un pays
3.1.2 La localisation avant le logement
3.2. Logiques de recherche de son lieu de vie : qualités substituables et insubstituables
3.2.1 Lieux substituables, la logique de l’utilitarisme
3.2.2 Lieux insubstituables : les logiques de l’intégration et de l’expérience
3.3. Les qualités du logement, une seconde étape du choix
3.4. La force des représentations urbaines
3.4.1 Les lieux rebuts (où l’on ne veut surtout pas habiter)
3.4.1.1. Les représentations sociales : la force de la stigmatisation
3.4.1.2. Les représentations sensibles : le rejet de la ville
3.4.2 Des idéaux-types persistants : une villa à la campagne ?
3.4.2.1. La localisation idéale : ville ou campagne ?
3.4.2.2. Le logement idéal : immeuble ou villa ?
3.5. Révision des critères de choix dans la recherche du lieu de vie, les compromis
3.5.1 Un compromis entre localisation et qualité du logement
3.5.2 La question du prix
3.5.3 Payer plus cher mais habiter « bien »
3.5.4 Payer plus cher mais respirer l’air de liberté de la ville
3.5.5 Faire abstraction de ses préjugés
3.5.6 Le coup de cœur
3.5.7 Un choix à deux, au moins…
3.6. Aides et compétences dans la recherche
3.6.1 Logiques de réseaux ou logiques de marché
3.6.2 Aides financières pour l’achat d’un logement
4. Conclusion
VI. QUELLES QUALITÉS RECHERCHENT LES FAMILLES ?
1. La recherche d’un environnement accueillant pour les enfants : l’importance de l’environnement de proximité
2. Une vie sensible et expressive
2.1. Habiter au calme
2.1.1 Le bruit de la ville
2.1.2 Les bruits de voisinage
2.2. Des espaces verts pour se ressourcer et jouer
2.3. Les espaces de l’enfance
3. Une vie sociale et interactive
3.1. Incertitudes et risques pour ses enfants : une ville sécurisée « socialement »
3.1.1 Le sentiment de sécurité dans son quartier
3.1.2 Pouvoir compter sur ses voisins
3.2. La réputation scolaire
4. Une vie pratique
4.1. Un rapport particulier à la proximité
4.1.1 Le problème récurrent de garde des enfants
4.1.2 La localisation résidentielle comme ressource : déménager pour mieux agencer fonctionnellement son quotidien
4.1.3 Organiser son quotidien domestique
4.1.4 La voiture, une nécessité
4.2. Autonomie des enfants
4.2.1 Autonomie des enfants et transports publics
4.2.2 Une ville sécurisée matériellement
5. Systèmes de lieux : les échelles de la vie quotidienne
5.1. Des formes de mobilité quotidienne différenciées
5.2. Des formes de sociabilité différentes
5.3. Vie quotidienne sédentaire ou kinétique ?
5.3.1 La vie quotidienne sédentaire : le quartier, lieu de vie
5.3.2 Vie quotidienne kinétique : un rapport métropolitain
5.3.3 La vie quotidienne incursive : intégré socialement et connecté au monde
6. Les qualités du logement recherchées
6.1. Propriétaire ou locataire ?
6.2. Qualités du logement : des exigences classiques ?
6.3. Luminosité, calme et espace : trois critères prépondérants !
6.3.1 La luminosité, critère de choix numéro 1 !
6.3.2 Les bruits de voisinage, source de tension !
6.3.3 Espaces supplémentaires
7. Conclusion
VII. SIX AXES DE DIFFÉRENCIATION DES PRÉFÉRENCES RÉSIDENTIELLES
1. Sécurité, le gradient de conservatisme
1.1. Représentations urbaines : altérophobie ou altérophilie ?
1.2. Pratiques urbaines : entre sédentarité et mobilité
1.3. Ressources : une forte stratification
2. Élitisme, le gradient de distinction sociale
2.1. Représentations urbaines
2.1.1 Entre authenticité et affirmation de son statut social
2.1.2 Immeuble ancien ou maison neuve ?
2.2. Pratiques : vie consumériste ou vie « authentique » ?
2.3. Ressources : bourgeoisie traditionnelle versus modèle égalitaire
3. Convivialité, le gradient de communautarisme
3.1. Représentations urbaines
3.1.1 Formes de vie individualistes ou communautaires ?
3.1.2 Formes urbaines et relations de voisinage
3.2. Pratiques urbaines : vie intégrative ou individualiste
3.3. Ressources : entre familles monoparentales isolées et familles nombreuses ou bi actives surchargées
4. Ancrage social, le gradient de localisme
4.1. Représentations urbaines : une attirance pour les formes de vie villageoises
4.2. Pratiques locales ou globales ?
4.3. L’influence du capital spatial
5. Tranquillité, le gradient de sérénité
6. Densité, le gradient d’urbaphilie
6.1. Une dimension fonctionnelle : un mode de vie orienté vers la proximité et l’utilisation des transports en commun ou du vélo
6.2. Une dimension sensible et sociale : la recherche de l’urbanité
7. Les différenciations dans le choix de son logement
7.1. Revenu, surface et statut d’occupation
7.2. Deux axes de différenciation
8. Conclusion
VIII. LES MODES DE VIE RÉSIDENTIELS
1. Les idéaux-types modernes
1.1. Les « communautaristes »
1.2. Les « bourgeois »
1.3. Les « champêtres ancrés »
2. Les idéaux-types postmodernes
2.1. Les « citadins engagés »
2.2. Les « citadins individualistes «
2.3. Les « paisibles », la figure du cosmopolite
2.4. Les « indifférents insatisfaits »
3. Revenu, statut d’occupation et mode de vie résidentiel
4. Les modes de vie résidentiels : une dynamique
5. Conclusion
5.1. Un gradient de conviction : formes de vie modernes ou postmodernes ?
5.2. Un gradient de mobilité : formes de vie sédentaires ou réticulaires ?
IX. LE POTENTIEL D’ACCUEIL : CARTOGRAPHIE
1. Qualifier le potentiel fonctionnel des lieux
1.1. La qualité de desserte par les transports publics
1.2. Répartition des services sur le territoire
2. Qualifier le potentiel sensible des lieux
2.1. Une typologie de l’environnement urbain
2.2. Lausanne et Berne, une histoire urbaine singulière
2.2.1 Lausanne, entre vallons et lac
2.2.2 Berne, entre campagne et Aar
3. Qualifier le potentiel social des lieux
3.1. Une analyse socio-démographique classique
3.2. Différenciation des classes moyennes dans l’espace urbain : répartition des catégories socio-professionnelles
3.2.1 Deux axes de structuration majeurs : stratification et différenciations macro-sociales des classes moyennes
3.2.2 Une typologie des quartiers
3.2.2.1. Les quartiers « postindustriels », les espaces de la « gentrification »
3.2.2.2. Les quartiers « industriels », les espaces de la « périurbanisation »
3.2.2.3. Les quartiers pauvres, les espaces de la « relégation »
4. Vers une typologie du potentiel d’accueil des quartiers
4.1. Résumé des indicateurs
4.2. La typologie finale des quartiers
X. CONTEXTE ET MODE DE VIE
1. Le potentiel d’accueil des agglomérations et des pays
1.1. Berne/Lausanne, différences culturelles et/ou structurelles?
1.1.1 L’Allemagne, initiatrice des changements de société ?
1.1.2 Berne : culture alternative et sédentarité, Lausanne : matérialisme et connexité
1.1.2.1. Des ancrages familiaux et amicaux différents
1.1.2.2. Politique d’aménagement et rapport à la proximité : des accessibilités différenciées
1.1.2.3. Vie de quartier ou vie métropolitaine ?
1.1.2.4. Mode de vie résidentiel et contexte métropolitain
2. Le potentiel d’accueil des quartiers
2.1. Potentiel d’accueil des quartiers « postindustriels »
2.2. Potentiel d’accueil des quartiers « industriels »
2.3. Dynamique des quartiers et mixité sociale
3. Où les différents modes de vie résidentiels se localisent-ils ?
3.1. Localisation des différents modes de vie résidentiels
3.2. Revenu et localisation
4. Conclusion
XI. CONCLUSION
1. L’innovation interdisciplinaire : comment repenser les choix résidentiels ?
1.1. Approches rationalistes, un choix « fonctionnel »
1.2. Approches sociologiques, un choix social
1.3. Approches phénoménologiques, le choix « sensible »
1.4. La force des représentations urbaines
2. Différenciation des modes de vie et des préférences résidentielles
2.1. Le concept de mode de vie
2.2. Modes de vie : des variations en termes de préférences résidentielles
2.2.1 Le gradient de mobilité
2.2.2 Le gradient de conviction
2.2.3 Stratification et préférences résidentielles
2.3. Les modes de vie résidentiels : un pluralisme infini ?
3. Contexte et mode de vie
3.1. Décris ton lieu de vie et je te dirai qui tu es…
3.2. Les échelles du choix : du pays au logement
3.3. Le potentiel d’accueil du territoire
3.3.1 Comment décrire la ville ?
3.3.2 Préférences résidentielles et localisation résidentielle
3.4. Revenu, modes de vie résidentiels et localisation
XII. PISTES D’ACTION ET RECOMMANDATIONS OPÉRATIONNELLES
1. La qualité sociale dans les projets « durables » : vers un urbanisme des modes de vie ?
1.1. La valeur d’usage
1.2. Écoquartier au centre-ville : durable socialement ?
1.3. Les enjeux d’une analyse sociologique amont
2. Aménagement du territoire et politiques publiques
2.1. Repenser les outils d’aménagement du territoire en Suisse : de l’urbanisme de plan à l’urbanisme de projet
2.2. Des politiques de logement et d’urbanisme calquées sur les usages de la ville
2.3. Prospectives et stratégies territoriales : un observatoire des modes de vie ?
2.4. Équipe interdisciplinaire : savoirs « spaciaux » et savoirs « sociaux » ?
3. Du projet urbain au logement
3.1. Analyse du potentiel d’accueil des quartiers
3.1.1 Vers un repérage systématique des qualités fonctionnelles, sociales et sensibles
3.1.2 Définition du public-cible
3.1.3 Exemple d’application de la méthodologie de définition du potentiel d’accueil
3.1.4 Exemple d’histoires de quartiers
3.1.4.1. Citadins engagés, un idéal-type : le quartier « bohème »
3.1.4.2. Citadins individualistes : un idéal-type, le quartier « bourgeois-bohème »
3.1.4.3. Bourgeois, un idéal-type : le quartier « bourgeois »
3.1.4.4. Paisibles et champêtres : un idéal-type : le quartier « petit-bourgeois villageois »
3.2. Opération urbaine
3.2.1 Repenser l’urbanisme à partir des systèmes de lieux
3.2.2 La qualité des espaces publics et intermédiaires
3.2.2.1. Morphologie urbaine et fréquentation du quartier
3.2.2.2. Halls d’entrée et paliers
3.2.2.3. Les places de jeux : lieux de rencontre
3.2.2.4. Les cheminements
3.3. Le logement : favoriser les diversités typologiques
3.3.1 Que se cache t-il derrière l’aspiration à la villa individuelle ?
3.3.1.1. L’agencement du logement
3.3.1.2. Le jardin, espaces verts extérieurs versus sécurité des enfants ?
3.3.1.3. La possibilité d’appropriation et d’évolution à travers le cycle de vie
3.3.2 L’attrait de la coopérative
4. Exemples de projets implémentant l’urbanisme des modes de vie
4.1. Un exemple : des opérations urbaines planifiées pour les familles
4.1.1 Lotissement en impasse et lotissements fermés: des qualités spatiales valorisées
4.1.2 Des alternatives, de la cité-jardin au « low high rise density » : l’habitat intermédiaire ?
4.2. L’exemple du quartier Carré Vert à Genève
4.2.1 Étape 1 : Définition du public-cible de son opération
4.2.2 Étape 2 : Concevoir un projet urbain adapté aux populations cibles
4.2.2.1. Quels types de logement ?
4.2.2.2. Quelles formes de bâtiment et quels espaces intermédiaires ?
4.2.2.3. Quels types d’espaces publics ? Quelle programmation urbaine ?
4.3. Le « village urbain », groupe Urbaplan, concours des Grands Esserts
5. 10 constats et recommandations (conclusion finale)
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