|
Les espaces du spectacle vivant dans la villePermanences, mutations, hybridité (XVIIIe-XXIe siècles)
Coordination éditoriale de Pauline Beaucé, Sandrine Dubouilh, Cyril Triolaire |
|
Introduction Première partie : Permanence et conquête de nouveaux espaces pour le spectacle dans la ville – De la ruelle aux vauxhalls : hybridité spatiale et scénique de la joie publique à Paris au XVIIIe siècle – Définir le normal et l'hybride. Un « sauvage » dans un caveau parisien sous la Révolution – Les curiosités à la Criée ou les petits spectacles marseillais sous l'Empire – Ce que les « lorgnèteries du Bonhomme Ecoute » révèlent : « les spectacles forains » bordelais vus par Pierre Bernadau – Des spectacles forains aux spectacles de curiosités : une certaine évolution de la topographie et de l’économie du divertissement bordelais de 1831 à 1856 – Extension du domaine forain : transformation des lieux de fêtes et spectacles de curiosités à Paris (1840-1860) Deuxième partie : Aménagement des espaces, mutations des usages et des architectures – La Foire Saint-Germain vers 1770 : images et mutations des lieux de spectacle – Le Théâtre des Jeunes Élèves de Louis Le Comte – La mise en scène de la modernité : les théâtres municipaux de Rio de Janeiro et de São Paulo (Première république brésilienne, 1889-1930) – Un palais pour le théâtre populaire à Paris . Retours sur les débats relatifs à l’attribution de la salle des fêtes du Trocadéro au premier Théâtre National Populaire – La compagnie Alexis Gruss, du théâtre au chapiteau (1868-2016) : symboliques des lieux pour les bâtisseurs de l’éphémère – La figure du cercle, du lieu théâtral à l’espace scénographié. Origines, interprétations et explorations de la scène centrée dans l’œuvre de la Compagnie Louis Brouillard (Joël Pommerat, auteur, metteur en scène) – Faire de la place pour autre chose ? Du coin-lecture à la galerie d’exposition et au potager dans les lieux de spectacle Conclusion |
||
125369-37 |