Des fables et des mondes possibles, préface de Jérôme Ferrari
L'oeuvre comme une île
Cohérence et « mission » de l'oeuvre
Le monde comme fil rouge
Structure et méthode
État des recherches sur l'oeuvre et choix du corpus
Bâtir un monde : structure des romans et motifs récurrents
Procédés narratifs « invariants » : les trois hétérogénéités
Hétérogénéité temporelle : les anachronies narratives
Hétérogénéité narrative : multifocalisation et polyphonie
Hétérogénéité formelle : insertions et « collages »
Dispositif et motifs : quand les romans « font monde »
Le monde comme motif
Le monde comme dispositif formel
Les « invariants » structurels et thématiques et leur mission de « dévoilement »
Chute et succession des mondes : la thématique filiale et le romanesque, raconter les générations
« Récit de filiation » et « retour du romanesque »
La littérature, remède contre la fin des Grands Récits
Récit de filiation : motivations et motifs
Le romanesque dénigré
Le romanesque « de seconde main »
L'individu sans fond et son destin tragique
Individualisme et nihilisme : l'assentiment donné à un monde sans valeur
Destins tragiques : l'oubli et l'errance
L'étrange au coeur de la fiction
L’illusion du moi : les noms propres
Fantômes et revenants
Le roman comme modèle ontologique
La filiation portée par le romanesque de seconde main
Les mondes possibles : philosophie tragique et physique quantique, métaphores et stratégies de dévoilement
Un roman schopenhauerien
« Vouloir-vivre » et tragédie schopenhauerienne : le pire des mondes possibles
S’arracher à la volonté
Physique quantique et métaphore : vers un « dévoilement » de l’Être
Renoncer au désir, c’est-à-dire demeurer dans le possible ?
La physique quantique
La métaphore
Le dévoilement
L’expérience esthétique du tragique
La saisie de l’essence : l’art comme expérience métaphysique
La suspension du désir par l’empathie
La nécessité du tragique
Le roman qui chante
Dualité, tension romanesque et suspension
Le roman qui pense
Postface de Jérôme Meizoz
Bibliographie sélective |