Préambule
1. Une société de Belles-Lettres à Neuchâtel
1.1 L'origine des sociétés d'étudiants
1.1.1 Apparition d'une société en Suisse : Zofingue
1.1.2 Philomuse
1.1.3 Naissance lausannoise
1.2 Naissance et vie de Belles-Lettres Neuchâtel jusqu'en 1918
1.2.1 Face à une éducation supérieure lacunaire en terre neuchâteloise
1.2.2 Apparition de la Société des étudiants neuchâtelois
1.2.3 Union des sociétés de Belles-Lettres et fusion avec Zofingue
1.2.4 Une société passive ?
1.3 Belles-Lettres à travers les générations (1918–1957)
1.3.1 De la fin de la Grande Guerre au Krach, le maurrassisme (1918–1932)
1.3.2 L'après-Maurras ou l’essor de la gauche (1932–1952)
1.3.3 La fin d’un âge d’or ? (1952–1957)
1.3.4 Les finances de jeunes dépensiers
1.4 Organigramme de la société
1.5 Portrait du Bellettrien
1.5.1 Devenir Bellettrien, intérêts et motivations
1.5.2 Lydie Morel, une candidature féminine
1.5.3 Après les études, le rôle des Anciens
2. Activités avec les Belles-Lettres romandes
2.1 La Revue de Belles-Lettres (RBL)
2.1.1 Création d’une revue bellettrienne
2.1.2 L’identité romande
2.1.3 Une collaboration difficile
2.1.4 Neuchâtel comité central
2.2 Les orateurs français en Suisse
3. Activités locales
3.1 Les conférences bellettriennes
3.2 La troupe de Belles-Lettres et le théâtre neuchâtelois
3.2.1 Un art impie en terre neuchâteloise
3.2.2 Une compagnie amateur pour le canton
3.2.3 Entre modernes et classiques, la programmation des pièces
3.2.4 De la monture à la revue
3.3 Aperçu de quelques activités ponctuelles
3.4 Synthèse des activités publiques
4. Conclusion
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