Première partie – Travaux et publications des années 1890 à la veille de la Grande Guerre
Introduction ;
Chapitre 1 – Alfred Espinas, concepteur de la praxéologie et promoteur des Jeux scolaires ;
Chapitre 2 – Émile Durkheim et les Durkheimiens. Un intérêt plutôt limité pour les jeux et le sport ;
Chapitre 3 – Quelques sociologues « bordelais » : Guillaume-Léonce Duprat, Jules Delvaille et Charles Lalo. Envisager l'éducation physique, les jeux et les sports ;
Conclusion.
Deuxième partie – Travaux et publications des années 1920 et 1930
Introduction ;
Chapitre 1 – La sociologie durkheimienne sans Durkheim. La réalité négligeable du jeu ;
Chapitre 2 – Le rayonnement posthume de la pensée sociologique de Durkheim : intérêt et limites ;
Chapitre 3 – Le jeu. Sources d'inspiration et esquisse d'un bilan d'ensemble ;
Chapitre 4 – De l'analyse de la « théorie du jeu » selon Charles Lalo à l’affirmation de l’« agonistique » selon Marcel Mauss ;
Chapitre 5 – Le devenir de l’autre « École bordelaise » de sociologie. Des analyses de qualité sur l’éducation physique, les jeux et les sports ;
Chapitre 6 – La sociologie française à la croisée des chemins ? Un certain retard accumulé dans l’étude des sports et des loisirs ;
Conclusion.
Conclusion générale
Perspectives : dialoguer avec les Classiques |