Jean-Paul Engélibert, Apostolos Lampropoulos, Isabelle Poulin, "Avant-propos"…..
I. TRADUCTIONS CRITIQUES : MOTS ET FIGURES DU DÉBORDEMENT
Sylvie Servoise, « Au bord de l'insurrection : sur quelques romans français contemporains »
Céline Barral, « Le mythe du déluge chinois au service d'une réflexion sur les signes »..
Jan Lietz, « Réalisme et anti-réalisme. Haltung chez Georg Lukács et Alexander Kluge »
II. GESTES CRITIQUES : PERFORMANCE ET INTERPRÉTATION
Delphine Edy, « Débordements de la scène comme actualisation politique de la littérature »
Jean-Benoît Cormier-Landry, « « Faire signe vers la totalité » : La nuit juste avant les forêts de Bernard-Marie Koltès »
Carolina Cunha-Carnier, « Slam resistência : reconfiguration du politique par la poésie dans le Brésil contemporain »
Francesca Manzari, « Libertés de l'inappropriable : déborder et accueillir, pour Caroline Bergvall et Lello Voce »
III. DÉBORDEMENT DANS LE GENRE
Joséphine Gardon, « Porosités, débordements et politique dans Clélie de Madeleine de Scudéry »
Fanny Monbeig, « Quand dire, c'est défaire : le genre et la race chez Toni Morrison et Marie NDiaye »
Annie Jouan-Westlund, « Le dépassement du double verdict social et sexuel chez Didier Éribon et Édouard Louis »
IV. AU BORD DU CONTEMPORAIN
Emilie Ieven, « Penser la puissance politique de la littérature : la logique utopique comme débordement dans Cherokee de Jean Échenoz »
Maryline Heck, « L'écriture comme expérience de l’ordinaire : Clerc, Sorman, Quintane et quelques autres »
Sandra Barrère, « Anima de Wajdi Mouawad ou la littérature au bord du gouffre »
Corentin Lahouste, « Débords du livre, débords du politique. Les chroniques de Yannick Haenel dans Charlie Hebdo » |