Olof Eriksson, « Avant-Propos et Introduction ».
Etudes contrastives
Hans Kronning, « Prise en charge épistémique et non-concordance des temps dans le discours indirect (libre) en français, en italien et en espagnol ».
Carina Andersson et Coco Norén, « Comparer la finalité dans le débat parlementaire : l'apport du corpus bilingue C-ParlEur ».
Odile Halmøy, « Quelques réflexions sur la traduction en norvégien des formes de futur de L'Étranger de Camus ».
Eva Larsson Ringqvist, « La dislocation en français et en suédois : aspects contrastifs et acquisitionnels ».
Maria Rosenberg, « Le composé VN français et les composés correspondants suédois dans un corpus bilingue ».
Olof Eriksson, « Le participe présent en français et en suédois : essai de typologie contrastive ».
Denis Le Pesant et Man-Gyu Pak, « La structure des locutions adpositives locatives en français et en coréen ».
Evgeny Shokhenmayer, « Les métamorphoses du nom propre modifié entre le français et le russe ».
Mongi Kahloul, « Les locutions en sur : étude des correspondances arabes ».
Etudes acquisitionnelles
Maria Kihlstedt, « Relations temporelles dans les récits d'enfants bilingues français-suédois ».
Jean-Georges Plathner, « La conscientisation en acquisition du français et en formation de traducteurs ».
Eleonora Vraciu, « L'emploi de la morphologie temporo-aspectuelle en anglais par des apprenants francophones ».
Études traductologiques
Kerstin Jonasson, « La Bible traduite en français et en suédois ».
Josette Larue-Tondeur, « Traductions bibliques opposées ».
Sofia Wastesson, « Le problème de l'interférence : le cas de la traduction en suédois par les mots väl et antagligen ».
Céline Vaguer, « Être aux anges, Sortir de ses gonds… Comment les langues traduisent-elles des états émotionnels ? ». |