Baroque ou bizarre ?



Baroque ou bizarre ?

Avatars de la bizarrerie aux XVIe et XVIIe siècles (France, Espagne, Italie)

Coordination éditoriale de Liliane Picciola

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Liliane Picciola – Avant-propos

La belle bizarrerie des Espagnols perçue par les Français : problèmes et enseignements des traductions

Jean Canavaggio – Don Quichotte, « loco bizarro » ;
Yen-Maï Tran-Gervat – Traduire le bizarre au XVIIe siècle : le cas de quatre traductions de Guzmán de Alfarache ;
José Manuel Losada Goya – Les mots bizarre, bizarrerie / bizarro, bizarría et leur valeur heuristique dans la critique française et espagnole du XVIIe siècle.

Le bizarre français : l'ère de la suspicion

Jean Céard – « D'un pinceau bisarre » : Les bizarreries de la nature à la Renaissance ;
Marie-Christine Gomez-Geraud – L'Isle des Hermaphrodites : une anamorphose du bizarre ;
Phillip John Usher – 1599 : une année tragico-bizarre ;
Françoise Poulet – « Mais, encor, dites-moi, quelle bizarrerie… » : de l'humeur ridicule à la posture singulière et critique.

Accueil et acclimatation du bizarre dans la création artistique et littéraire en France et en Italie

Marie-Dominique Legrand – À l'école de Dante, de la Pléiade et de l'Humanisme : une vocation baroque du bizarre ;
Alice Vintenon – L'excellence des « bizarres fantaisies » dans la théorie d’art italienne du XVIe siècle ;
Liliane Picciola – La bizarrerie dans la dramaturgie de Corneille.

Postface : Baroque et bizarre : de la critique allemande aux perspectives françaises

Henriette Levillain – Pourquoi le baroque est-il bizarre mais le bizarre n’est-il pas le baroque ?

Liliane Picciola – Conclusions

Bibliographie sélective

Présentation des auteurs

120598-78


 

 

 

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