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La Muse au couteauSur Les Amours jaunes de Tristan Corbière
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Remerciements Note liminaire Introduction. Inclassable Corbière Lire Les Amours jaunes « aujourd'hui » : l'historicité du comprendre « La génération poétique de 1860 » : Corbière, « Parnasse » et « Parnassiculet » Du « Bohémien » romantique à la « vie de bohème » selon Murger « Romantisme déromantisé » Chapitre 1. « Un monstre de livre » Une genèse difficile à retracer « Titre mystérieux » et « titre pétard » (Baudelaire) : le « jaune » polymorphe « Le monde jaune » (Hugues Laroche) Structure et dynamique du recueil : « Trop broché pour être relié » ? Chapitre 2. La persona lyrique du « poète contumace » La crise d'identité de la poésie lyrique : « ta lyre, outil ridicule » La figuration de soi : « répéterai tous mes rôles » La multiplication des voix et des adresses : lyrisme et polyphonie Le monde « à l'envers » : poésie « carnavalesque » et « ironie lyrique » (Bakhtine) Chapitre 3. Amour, mort et Armor « Les déserts de l'amour » (Rimbaud) L’amour des « parias » : entre Éros et Agapè Amour et Armor ou l’Éros cosmique : « ta gorge houleuse » « La Muse camarde » Chapitre 4. Le pur et l’impur L’ascèse poétique : « Maître-philosophe cynique » La désarticulation des unités du poème : l’expressionisme des « atroces accords » Le réalisme « dialogique » (Bakhtine) : la langue comme « arlequin-ragoût » Le primitivisme du « Sublime Bête » ? Conclusion. L’exorcisme et la chanson Anthologie critique Bibliographie |
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