Le choix de la violence en politique



Le choix de la violence en politique

Témoignages


:: Résumé    :: Sommaire    :: Détails


Introduction

• La perception de la violence politique : continuités et ruptures
• La réalisation des interviews

Les séparatistes jurassiens

• Pierre-Alain Baehler, « Des actions musclées pour obliger le pouvoir à se bouger, pour montrer que le problème jurassien existait. »
• S., « Nous avions épuisé le catalogue des moyens raisonnables et nous devions passer à autre chose. »

Les militants d'extrême gauche

• A., «Les Brigades Rouges étaient la seule organisation capable de construire le "parti" dont on croyait avoir besoin pour diriger la révolution.»
• Giorgio Bellini, «Il fallait d'autres moyens pour faire bouger les choses que les actions légales.»
• Marina Berta, «C'était la lutte des ouvriers et des étudiants qui m'intéressait. La lutte pour les minorités exploitées. Pas les attentats.»
• Claudia Bislin, «Il faut dire ce qui est : la RAF nous fascinait. Mais ce n'était pas notre tasse de thé.»
• Gianluigi Galli, «Nous ne réfléchissions pas en termes de violence mais de révolution. La révolution comme un moyen de libération.»
• B., «Je me suis toujours senti mal à l'aise avec l'idéalisation de la violence révolutionnaire.»
• Bernard Rambert, «La gauche est une minorité politique en Suisse et nous passons notre temps à nous excuser et à nous justifier constamment.»
• Daniel de Roulet, «La Suisse, c’est le pays des réunions et des congrès, pas des révolutions !»
• Klaus Rozsa, «La Suisse n’est pas un État de droit. C’est un État policier et nous ne devons jamais accepter cela.»

Les militants d’extrême droite

• Gaston Armand Amaudruz, «L’histoire nous montre que, parfois, la violence a fondé de grandes dynasties.»
• Pascal Junod, «En Suisse, les skinheads ne font pas beaucoup de dégâts, ce ne sont pas des casseurs.»

Le Procureur du Tessin

• Dick Marty, «En Suisse, nous avons les instruments politiques adéquats pour revendiquer un changement.»

Le sympathisant de l’État Islamique

• R., «Je voulais combattre Bachar et aider la population qui souffrait. J’ai accepté les armes pour me défendre et je n’ai jamais voulu tuer.»

Conclusion

Bibliographie

123913-64


 

 

 

Autres titres dans...

la collection :


les domaines :


autre suggestion :

Product image
Carole Villiger
Usages de la violence en politique (1950-2000)
Histoire (Antipodes)