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L'esthétisme britannique (1860-1900). Peinture, littérature et critique d'artÉdité par Anne-Florence Gillard-Estrada, Xavier Giudicelli |
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CONTEXTES PRÉFACE TEXTES Algernon Charles Swinburne, « Remarques à propos de quelques tableaux de 1868 » (1868) Oscar Wilde, « La Grosvenor Gallery » (Dublin University Magazine 90, juillet 1877) Oscar Wilde, « La Grosvenor Gallery » (Saunders' Irish Daily News, 5 mai 1879) John Ruskin, « Deuxième conférence : Les écoles de peinture mythique, E. Burne-Jones* et G.F. Watts* » (prononcée les 12 et 16 mai 1883) ÉTUDES CRITIQUES Anne-Florence Gillard-Estrada, La critique d'art esthétique de Walter Pater Laurence Roussillon-Constanty, « Eyes to wonder and tongue to praise » : John Ruskin et Burne-Jones, un peintre moderne dans l'œil du critique François Ropert, « Ma main, blanche rose, / Se déclôt sur la neige immaculée », ou la beauté du geste dans plusieurs études de main d’Algernon Charles Swinburne Clément Dessy, Swinburne en partage chez les écrivains belges de la fin-de-siècle : de la sensibilité au sadisme esthétique ANNEXES Glossaire des principaux artistes et critiques d’art cités |
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