« Créer, organiser, durer »



« Créer, organiser, durer »

Naissance et développement de l'union des femmes de Lausanne (1896-1916)


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PRÉFACE

REMERCIEMENTS

INTRODUCTION

CHAPITRE 1 – NAISSANCE DE L'UNION DES FEMMES DE LAUSANNE

1.1 La « Nouvelle femme »

1.1.1 Des situations socio-économiques en mutation (1870-1900)

1.2 Conditions d'une naissance

1.2.1 Le phénomène associatif féminin romand à la fin du XIXesiècle

1.2.2 Enthousiasmes, hésitations et résistances extérieures

1.2.3 Emma Rod-Ducloux : une nécessaire instigatrice

1.3 Une association bourgeoise

1.3.1 Éléments d'une bourgeoisie

1.3.2 Femmes seules

CHAPITRE 2 – LA VIE ASSOCIATIVE INTERNE

2.1 Des espaces d'émancipation

2.1.1 L'écriture comme liant associatif : le Journal des Dames receveuses (1902-1903)

2.1.2 Le rapport de l'individu à sa propre écriture

2.1.3 Vers une définition de soi en tant qu'élément d’une collectivité de femmes

2.1.4 L’identité collective à l’épreuve de l’extériorité

2.1.4 Le local de l’association comme lieu de sociabilités

2.2 Problèmes économiques: le local de l’Union

2.2.1 La difficile recherche d'un local associatif

2.2.2 L’équipement logistique du local

2.3 Problèmes économiques: la Commission des cours

2.3.1 Entre développement et précarité économique

2.3.2 À la recherche d’une pertinence (1900-1904)

2.3.3 Les problèmes économiques comme frein au développement des cours (1904-1911)

2.3.4 Vers une perte d’autonomie dans les choix des cours (1911-1914)

2.4 Une « machine» fragile

2.4.1 La Commission du Code et la Commission d’études législatives

2.4.2 Le Bureau d’adresses

2.4.3 La bibliothèque

2.4.4 Le Bureau de renseignements et de conseils juridiques

CHAPITRE 3 – L’ACTIVITÉ EXTÉRIEURE

3.1 Des débuts encourageants

3.1.1 La pétition des femmes vaudoises de 1897 : un terrain politique miné

3.1.2 La pétition antialcoolique de 1900 et la création de l’Alliance nationale des sociétés féminines suisses de 1901 : deux événements prometteurs

3.2 Politique d’ouverture et opportunisme

3.2.1 À la recherche d’une légitimité d’action (1900-1905)

3.2.2 Entre « marche tranquille » et politique de l’à-coup (1905-1911)

3.3 La crise de 1912

3.3.1 Tutelles et commissions scolaires : succès féministes

3.3.2 Une crise interne majeure

3.3.3 Le Mouvement féministe comme rival du Bulletin féminin

3.4 Vers un féminisme social vaudois

3.4.1 L’arbre généalogique : affirmation d'un féminisme vaudois

3.4.2 La lutte contre la tuberculose: une voie de plein activisme social

3.4.3 Dans les Maisons ouvrières de Lausanne: entre activisme social, tuberculose et socialisme

CHAPITRE 4 – LA GUERRE COMME AUBAINE ?

4.1 Une association en effervescence

4.2 Avec la Nouvelle Société helvétique : collaboration

CONCLUSION

ANNEXE 1 – LETTRE D’EMMA PORRET, BOURGEOISE DE NEUCHÂTEL,
ADRESSÉE À L’ÉCRIVAIN T. COMBE (1892)

ANNEXE 2 – EXPOSÉ DES MOTIFS EN FAVEUR DU MAINTIEN DU BULLETIN
FÉMININ PRÉSENTÉ À LA RÉUNION CANTONALE

ANNEXE 3– EXTRAITS DES CONCLUSIONS D’ÉMILIE GOURD SUR L’ENQUÊTE
MENÉE DANS LE MOUVEMENT FÉMINISTE ENTRE MARS ET JUIN 1915 :
« LA GUERRE EST-ELLE FAVORABLE AU DÉVELOPPEMENT DU FÉMINISME ? »

ABRÉVIATIONS

SOURCES ET BIBLIOGRAPHIE

116951-87


 

 

 

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