Introduction
Le choix de la thématique et de la voie comparatiste
L'état de l'art
Méthodologie et analyses ciblées
Le temps des fêtes civiles et civiques (1810-1850). Fébrilités et oscillations festives
Nos pères, ces héros…
Trop de fêtes tuent la fête
Conclusion
Le temps des hymnes (1840-1860). Choix, usage et fixation des hymnes nationaux
Antécédents et modèles
De la Marseillaise à la Canción nacional boliviana
Hymnes vainqueurs et reconstructions de l'histoire
La laborieuse consécration des hymnes nationaux
Conclusion
Le temps des hiérarchies calendaires (1860-1910). Mieux chérir pour mieux servir
Des fêtes au service des urgences politiques
L'essor de nouvelles fêtes civiques locales : la « petite patrie » au service
de la « grande patrie » ?
Du « polyfêtisme » au « monofêtisme » : pouvoir libéral et institutionnalisation
d'une fête nationale
L'obligation festive : l'école au service de la fête nationale
Conclusion
Le temps des commémorations (1910-1925). Centenaires et « monuments de papier »
L’impératif d’ostentation
Vers un récit-portrait commémoratif des commémorations
Deux ouvrages pour deux projets politiques de construction nationale… et d’invisibilisation
Conclusion
Conclusion
Épilogue
Sigles, Sources et Références bibliographiques
Sigles utilisés
Sources primaires (Mexique ou liées au Mexique)
Imprimés, opuscules, folletos
Sources primaires (Bolivie ou liées à la Bolivie)
Bibliographie
Table des illustrations
Illustrations
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