PREMIÈRE PARTIE
Gilles Campagnolo – Présentation.
Section 1 – Actualité des concepts mengériens ;
Section 2 – Menger en son temps et en sa ville : retour sur la « Vienne 1900 » ;
Section 4 – Classification mengérienne des sciences économiques et résistance à la mathématisation du réel ;
Section 5 – Menger et la mise en question du « projet théorique ».
DEUXIÈME PARTIE : RECHERCHES SUR LA MÉTHODE DANS LES SCIENCES SOCIALES ET EN ÉCONOMIE POLITIQUE EN PARTICULIER
– Avant propos.
Livre premier – De l'économie nationale comme science théorique dans son rapport aux sciences historiques et pratiques de l'économie politique
Chapitre premier – Des différents points de vue de la recherche dans le domaine de l'économie politique ;
Chapitre 2 – Des erreurs qui résultent de la méconnaissance de la nature formelle de l’économie nationale théorique ;
Chapitre 3 – La nature particulière de la connaissance théorique en économie politique ne supprime pas le caractère de science théorique de l’économie nationale ;
Chapitre 4 – Des deux directions fondamentales de la recherche théorique en général, et dans le domaine de l’économie politique en particulier ;
Chapitre 5 – Du rapport de la direction exacte de la recherche dans le domaine des sciences sociales à la direction réaliste-empirique ;
Chapitre 6 – De la théorie selon laquelle il faut traiter les phénomènes de l’économie politique sans les séparer du développement d’ensemble, social et étatique, des peuples ;
Chapitre 7 – Du dogme de l’intérêt personnel dans l’économie nationale théorique et de la place qu’il y tient dans les questions de théorie de la connaissance ;
Chapitre 8 – Du reproche d’« atomisme » dans l’économie nationale théorique.
Livre II – Du point de vue historique dans l’économie nationale théorique
Chapitre premier – du point de vue historique dans l’économie nationale théorique ;
Chapitre 2 – Des direction pseudo-historiques de la recherche dans l’économie nationale théorique
Chapitre 3 – Du point de vue historique dans les sciences pratiques de l’économie politique.
Livre III – La compréhension organique des phénomènes sociaux
Chapitre premier – De l’analogie entre les phénomènes sociaux et les organismes naturels, de ses limites et du point de vue méthodologique qui en résulte pour la recherche en sciences sociales ;
Chapitre 2 – De la compréhension théorique des phénomènes sociaux qui ne sont le produit ni d’une convention, ni d’une législation positive, mais au contraire les résultats non réfléchis du développement historique.
Livre IV – Comment s’est développée l’idée de traiter historiquement l’économie politique
Chapitre premier – Les principes de l’École historique des économistes allemands étaient déjà connu depuis longtemps dans les sciences politiques ;
Chapitre 2 –L’École historique des économistes allemands a méconnu les idées de réforme dans l’École des juristes historicistes et se considère historique en son sens seulement par erreur ;
Chapitre 3 – De l’origine et du développement de l’École historique des économistes nationaux allemands.
TROISIÈME PARTIE : ENQUÊTE SUR LA « QUERELLE DES MÉTHODES »
Section 1 – Actualité de la « Querelle des méthodes » ;
Section 2 – Le Methodenstreit : faits et écrits de la polémique Menger/Schmoller ;
Section 3 – Concepts et catégories du Methodenstreit : traits irréductibles et nuances à introduire ;
Section 4 – Classification et mathématisation en économie chez Menger et chez Schmoller : convergences, résistances communes, attitudes antagoniques ?
Section 5 – L’épistémologie économique se fonde-t-elle sur le Methodenstreit ?
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