Jusqu’au siècle dernier, le fleuve a été à la fois un axe commercial important et une frontière puisque sa rive gauche a pu être revendiquée comme basque. L’accent a ici été porté sur la richesse des modes de vie : les métayers dont le statut reste longtemps original, les pêcheurs du fleuve et ses mariniers. Mais le Bas-Adour participe également à la vie régionale et nationale. À travers les multiples communications rassemblées dans le livre se dessine l’identité d’une petite région, perçue aujourd’hui comme l’arrière-pays de sites tourististiques majeurs : Dax la thermale, Bayonne et la côte basque.