Note liminaire
Jacques Dubois, Pascal Durand, Yves Winkin – Le symbolique est le social
Première partie : Refondations
Tassadit Yacine – Bourdieu et l'Algérie ;
Yves Winkin – Portrait du photographe et jeune antropologue ;
Bridget Fowler – La photographie et l'esthétisme aristocratique ;
Cornelia Bohn – Les conséquences réelles de l'auto-illusionnement ;
Jean-Marie Klinkenberg – De la sociolinguistique à l'action linguistique ;
Priscilla P. Ferguson – L'ostentation culinaire. Naissance du champ gastronomique ;
José Sérgio Leite Lopes – Le rôle de Bourdieu dans le renouveau des enquêtes ethnologiques et sociologiques au Brésil.
Deuxième partie : Champs culturels et formes symboliques
Constante Baethge – Une littérature sans littéralité. Pour une autonomie de l'œuvre d'art ;
Anthony Glinoer – Enfances du champ littéraire français : à propos de l'époque romantique ;
Pascal Durand – Les ruses de l'illusion : le cas Mallarmé ;
Wolfgang Asholt – La notion d'avant-garde dans les Règles de l’art ;
Benoît Denis – La littérature francophone de Belgique. Périphérie et autonomie ;
Jérôme Meizoz – Pierre Bourdieu et la question de la forme. Vers une sociologie du style ;
Paul Dirkx – Réception et récepteur des Règles de l’art ;
Johan Heilbron – Innovation institutionnelle et transmission artistique ;
Michael Grenfell – Balises pour une morphologie sociale de l’art contemporain en Grande-Bretagne.
Troisième partie : Champ politique et politique de la science
Craig Calhoun – Centralité du social et possibilité de la politique ;
Teresa Orozco – La réception de Hannah Arendt en Allemagne et ses enjeux ;
Luc van Campenhoudt – La dimension symbolique des politiques de sécurité ;
Geoffrey Geuens – Logique de champs et habitus journalistique ;
Wolfgang Settekorn – Du sport à l’économie. Les constituants d’un cercle enchanté ;
Philippe Fritsch – Les vétérinaires dans le champ du pouvoir ;
Nikos Panayotopoulos – La sociologie de Bourdieu : une théorie comme praxis et non comme logos ;
Pierre Bourdieu – « Secouez un peu vos structures ! ».
Épilogue
Annie Ernaux – Raisons d’écrire
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