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Brigitte Baptandier
Que jamais le temps ne se brise
Voyage au Mont de la Fleur, Huashan (Shaanxi, Chine)
Anthropologie de la nuit n° 9
Publications de la Société d'ethnologie, Nanterre
Le pèlerinage taoïste au Mont de la Fleur, Huashan (Chine centrale), est un rituel d'initiation nocturne : une ascension vertigineuse dont la nuit est la trame obligée pour parvenir, au lever du soleil, à "la perfection de son vrai moi". Au cœur du danger surgissent ici mythes, visions, paysages stupéfiants de la Chine ancienne ou contemporaine.
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Deborah Puccio-Den
La nuit de la parole
Écouter le silence
Anthropologie de la nuit n° 10
Publications de la Société d'ethnologie, Nanterre
Comparaison magistrale en cinq actes, dans cinq paysages d'Europe (carnaval slave, processions d'Espagne, mafia italienne, art salvateur d'un magistrat perdu, danse kizomba des banlieues françaises), ce texte passionnant présente l’inégalable couple Nuit et Silence, tenus bien trop près l’un de l’autre pour ne pas se confondre dans tous les sens
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Boris Charcossey
Contre temps et marées
Pêcheurs hauturiers de Lorient en mer d'Écosse
Anthropologie de la nuit n° 8
Publications de la Société d'ethnologie, Nanterre
Le carnet de terrain de Boris Charcossey livre dans un style étonnant une description du travail et de la vie à bord d'un chalutier breton en haute mer. S'y dévoilent le fonctionnement du « grand métier », la destruction de l'alternance veille sommeil, les périls conjugués de manœuvres techniques épuisantes et d’une mer froide et imprévisible.
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Michel Adam
Un deuxième monde
La nuit des Kikuyu du Kenya
Anthropologie de la nuit n° 6
Publications de la Société d'ethnologie, Nanterre
Ce livre propose une incursion dans l'intimité de l'obscur chez les habitants paisibles de la circonscription d’Othaya, au pied du mont Kenya, et invite à écouter chuchotements, non-dits et silence de cet « autre monde ».
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Laurence Caillet
Démons et Merveilles
Nuits japonaises
Anthropologie de la nuit n° 7
Publications de la Société d'ethnologie, Nanterre
Tout nous parle de nuit, car nous sommes au Japon. Que l'on consulte les astrologues ; que l'on s’endorme dans le métro ; que s’entrouvre la terre qui laisse passer démons, esprits en colère, ou fantômes délicieux ; que s’allument les lanternes ou que brillent les lucioles, les frontières entre la nuit et le jour s’estompent.
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Marie-Paule Ferry
Ceux de la nuit
Les sorciers tenda au Sénégal oriental
Anthropologie de la nuit n° 4
Publications de la Société d'ethnologie, Nanterre
Une inquiétude… une angoisse dans l'obscurité, car c’est le domaine de «ceux de la nuit», êtres qu’on ne peut identifier car leur qualité de sorcier et sorcière se perçoit seulement par ses effets nocifs ou même létaux. Ce récit vif décrivant la...
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Laurent Fontaine
La nuit pour apprendre
Le chamanisme nocturne des Yucuna d'Amazonie colombienne
Anthropologie de la nuit n° 5
Publications de la Société d'ethnologie, Nanterre
Selon les Yucuna d'Amazonie, la nuit est le temps et l'espace qui libèrent les entités nuisibles. Elle n'est donc pas faite pour dormir, mais bien pour veiller, et écouter les enseignements transmis par le chamane : récits mythologiques et...
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Guy Bordin
On dansait seulement la nuit
Fêtes chez les Inuit du nord de la Terre de Baffin
Anthropologie de la nuit n° 3
Publications de la Société d'ethnologie, Nanterre
Être actif la nuit est un art de vivre chez les Inuit. Toute activité semble à même de repousser autant que possible le moment de l'endormissement. Les nombreuses fêtes permettent à chacun d'être pleinement un unnuaqsiuti, un « être de la nuit ».
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Anne-Gaël Bilhaut
Des nuits et des rêves
Construire le monde zapara en Haute Amazonie
Anthropologie de la nuit n° 1
Publications de la Société d'ethnologie, Nanterre
Profondément ancrée dans le quotidien, l'expérience du rêve est constamment interrogée par les Indiens Zapara pour faire face aux nouveaux défis de la mondialisation.
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Jacques Galinier
Une nuit d'épouvante
Les Indiens Otomi dans l'obscurité
Anthropologie de la nuit n° 2
Publications de la Société d'ethnologie, Nanterre
Chez les Otomi orientaux, la nuit appartient au féminin, "ce qui épouvante". La nuit y est un véritable laboratoire de recréation du vivant, et les Otomi sont les penseurs d'une étourdissante philosophie de l'obscurité.
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