|
Interprétations de la politique étrangère d'HitlerUne analyse de l'historiographie
Préface de Saul Friedländer |
|
Saul Friedländer Préface René Schwok Avant-Propos Introduction Première Partie. Problèmes d'épistémologie et évolution de l'historiographie occidentale Chapitre premier. L'Historiographie : problèmes d'épistémologie Une plus grande conceptualisation « La traduction et la synthèse des perspectives » Conclusion Chapitre II. L’historiographie ouest-allemande : évolution et controverses 1. Les querelles principales 2. La perspective est-allemande 3. Les controverses de l’historiographie ouest-allemande comme conséquence du débat politique intérieur 4. Le poids du passé 5. La structure de l’institution universitaire Conclusion Chapitre III. L’historiographie occidentale non allemande 1. L’historiographie britannique 2. L’historiographie américaine 3. L’historiographie française Une faible production Une tendance à l’atténuation de la germanophobie Conclusion Deuxième Partie. Typologie des principales interprétations de la politique étrangère du nazisme Introduction à la deuxième partie Approches de tendance idiographique Chapitre IV. La « Théorie » de la « démonie » 1. Friedrich Meinecke Présentation de ses thèses philosophiques et politiques Die deutsche Katastrophe 2. Gerhard Ritter 3. Golo Mann 4. Ludwig Dehio Conclusion Chapitre V. L’approche intentionnaliste Alan Bullock Chapitre VI. L’analyse révisionniste 1. David Hoggan 2. Alan John Percival Taylor 3. Fritz Fischer Chapitre VII. Les « programmologues » 1. Le cadre d’analyse 2. Hugh Trevor-Roper 3. L’« école » d’Andreas Hillgruber L’Allemagne comme première puissance continentale Le déclenchement de la guerre européenne La politique suivie vis-à-vis de l’Angleterre La conquête d’un « Lebensraum » à l’Est La politique raciale Préparation de l’Europe « nouvelle » à une confrontation avec les Etats-Unis Continuité ou discontinuité de la politique étrangère nationale-socialiste Problèmes épistémologiques Conclusion Approches de tendance nomothétique Chapitre VIII. La théorie du fascisme 1. La version marxiste orthodoxe Charles Bettelheim Pierre Angel Martin Kitchen 2. La version marxiste non orthodoxe Le cadre général Hans-Ulrich Wehler et l’école de Bielefeld Reinhard Kühnl Timothy Mason : « la crise de 1938 - 1939 » Conclusion 3. La version non-marxiste de l’interprétation du nazisme comme une forme de fascisme Le cadre général Ernst Nolte Conclusion Chapitre IX. Le cadre d’analyse totalitariste 1. Le cadre général et problèmes de méthode 2. Cinq possibilités de réifier le « type-idéal » L’oppression de la société totalitaire pousse à la guerre L’idéologie d’un Etat totalitaire n’est souvent qu’une manipulation de slogans Extrême minimisation de l’anticommunisme de Hitler L’objectif de la conquête de l’humanité est postulé « a priori » Exagération de la responsabilité historique de Staline dans le déclenchement de la guerre Conclusion Chapitre X. L’approche polycratique 1. Le cadre général et problèmes de méthode 2. La politique étrangère 3. Critique interne au modèle La force dynamique La sélection des éléments purement négatifs Une idéologie destructrice est gardienne de l’ordre Résultats de la recherche polycratique par rapport à la politique étrangère Troisième partie. L'attaque allemande contre la Pologne : une analyse comparative Chapitre XI. Approches de tendance idiographique 1. La théorie de la « démonie » Une caractérisation méta-historique de Hitler Une propension exagérée à absoudre la population allemande 2. L’approche intentionnaliste Alan Bullock Walther Hofer 3. L’analyse révisionniste 4. Les « programmologues » Chapitre XII. Approches de tendance nomothétique 1. La version marxiste de la théorie du fascisme Hitler, allié de la bourgeoisie allemande L’accord germano-soviétique et le déclenchement de l’attaque contre la Pologne La responsabilité des puissances capitalistes occidentales 2. La version marxiste non orthodoxe 3. La version non marxiste de l’interprétation du nazisme comme une forme de fascisme Ernst Nolte René Rémond 4. Le cadre d’analyse totalitariste L’oppression de la société totalitaire pousse à la guerre L’idéologie d’un Etat totalitaire se révèle souvent n’être qu’une manipulation de slogans Staline possède une part de responsabilité dans le déclenchement de la guerre 5. L’approche polycratique Conclusion Postface Bibliographie A. Ouvrages B. Articles C. Entretiens Index |
||
118964-74 |